J'ai voulu travailler avec Césarée Paris parce que Laurence Coupelon est pour moi la papesse du bijou ethnique.
J'ai donc demandé aux artisanes indigènes de me faire de tout petits masques. Elles ne comprenaient pas pourquoi, les Masques sont des pièces que l'on met devant le visage et elles étaient curieuses de savoir pourquoi je voulais des miniatures. Les miniatures demandent plus de temps et d'habileté et j'ai donc choisi les artisanes auxquelles j'ai proposé ce travail.
Le résultat est vraiment merveilleux car ce sont de petits chefs d'oeuvre de finesse, des bulles de magie.
j'étais très heureuse de découvrir les premiers masques, les artistes étaient très fières aussi de leurs premiers résultats.
C'est à Paris, rue du Dragon dans l'atelier de Césarée que les colliers ont pris forme, mélanges de matières baturelles, bois, plumes, corne ... ce sont de véritables talismans.
Puissance et beauté