Masques

SAKABUMA

S 0011.07

PIÈCE UNIQUE FABRIQUÉE PAR LES TRIBUS INDIGÈNES AU COEUR DE LA JUNGLE.

Collaborant avec ces tribus depuis plus de 9 ans Corinne Bally travaille personnellement avec chaque artisane et adapte sa demande au style propre à chacune.

A mi chemin entre l'objet rituel et l'objet d'art moderne, ces masques sont des pièces uniques au monde.

Ce nemboro peut aussi bien servir de décoration murale ou être posé sur un meuble, à l’aide ou non d’un socle (non fourni).

 

Ana Alicia
Feuilles de palmes, palmier commun “Chunga” (Astrocaryum standleyanum) et Nahuala.
Le plus spectaculaire
XXL
50 Centimètres
43 Centimètres
37 Centimètres
AUTRES
  • Chaque artisane perçoit directement et immédiatement la rémunération de son travail, à un prix juste.
  • Les masques reçoivent tous un traitement phytosanitaire afin d’éliminer toutes les larves d’insectes.
  • Les teintures utilisées sont toujours végétales et naturelles.
2300 Euros TTC
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Origine

Extraordinaires objets d'art et de décoration, ces masques sont dérivés des croyances et rites chamaniques des indiens d'Amérique centrale des tribus Wounaans et Emberas au cœur de la forêt tropicale entre Panama et Colombia.

Les indiens divisent le monde en deux, un monde visible et un monde parallèle et invisible. Les esprits « haï » sont dans la nature, dans les animaux ou dans les plantes.

« La grande supériorité de ce monde parallèle, de cet univers d'ombres, c'est qu'il peut voir les hommes alors que les hommes, eux ne peuvent le voir », écrit Jean-Marie Le Clézio.

Par l'intermédiaire des chamans, ils entrent en contact avec les "Haï" esprits de la Nature. Le masque, ou « nemboro », permet au chamane lors du rituel, de prendre l’apparence d’un esprit du monde invisible et d’entrer en communication avec ce monde.

 Après son utilisation, le masque qui a « dansé » sera détruit car il reste chargé et personne d’autre que le chamane n’est habilité à le toucher. Il n’existe donc pas de pièces anciennes.

Élaboration

Nos masques sont réalisés comme pour un rituel.
Ils sont faits de feuilles de palmes récoltées dans la forêt, provenant d’une varieté de palmiers  communs appelés Chunga. On prélève tout d’abord les parties les plus tendres que l’on fait sécher et qui sont ensuite blanchies.
Assemblées en écheveaux, les feuilles de palmes séchées sont alors teintes à l’aide de teintures naturelles. On utilise de la pulpe de fruits, des copeaux de bois, des graines, des feuilles ou encore des racines. Il faut parfois plusieurs bains.
Après ce long travail de préparation, l’artisane commence alors son fabuleux travail de création, qui outre un grand sens artistique requiert aussi un incomparable savoir-faire détenu par les seules femmes de ces tribus.

Entretien

Ne jamais mouiller, ne pas exposer à la pluie.

Contact

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